Dernière mise a jour :  1 decembre 2022

ELECTIONS PROFESSIONNELLES

DU 1er Décembre 2022 au 8 décembre (17h)

VOTEZ pour élire les représentantes des personnels infirmiers pour 4 ans.

 

Nous comptons sur vos voix !!! 

pour la CAPA votez SNICS SNUASFP

pour le CSA académique votez FSU

pour le CSA ministériel votez FSU 

 

CHAQUE VOIX COMPTE  

 

Bulletin syndicalisation 2022/2023

BULLETIN DE SYNDICALISATION
Nouveau bulletin pour l'année scolaire 2022/2023
à renvoyer à Frédérique Montuy :1 rue du Tertre 62500 Saint Martin lez Tatinghem
bulletin lille 22.pdf
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Actualités Covid rentée 2022 et ASA

- pour les personnels vulnérables (au sens de l’article 1er du décret 2021-1162 du 8 septembre 2021), les règles demeurent inchangées. L’article 1er du décret du 8 septembre 2021 et la circulaire DGAFP du 9 septembre 2021 distinguent deux catégories d’agents, selon qu’ils sont ou non sévèrement immunodéprimés :

  • les agents sévèrement immunodéprimés sont placés en autorisation spéciale d’absence (ASA) lorsque le télétravail n’est pas possible
  • les agents non sévèrement immunodéprimés se trouvant dans l’une des situations énoncées au 1° du I de l’article 1er du décret du 8 septembre 2021 bénéficient de mesures de protection renforcées mises en place par le service ou l’établissement. Ils peuvent, sous certaines conditions être placés en autorisation spéciale d’absence (ASA).

- les Autorisations Spéciales d'Absence pour garde d'enfant liées au covid ont pris fin. C'est donc le droit commun qui s'applique en matière de garde d'enfant à cette rentrée.

- Comme l'an passé, vous pouvez bénéficier d'autotests délivrés gratuitement en pharmacie sur présentation d'une attestation remise par votre école, votre EPLE ou votre chef de service.

CE SITE EXISTE GRACE AUX ADHÉRENTS; rejoignez le SNICS

N’hésitez pas à nous contacter. Nous répondons a tous et toutes ....

Nous vous aidons dans vos difficultés

mais n'oubliez pas que c'est la cotisation syndicale qui permet au SNICS de vivre et de pouvoir vous répondre et vous aider.....

Et quand tout va bien, nous soutenir c'est aussi anticiper pour l'avenir..... défendre la profession....

vous trouverez toutes les informations et  le bulletin d'adhésion à l'onglet ADHESION

COMMUNIQUE DE PRESSE LOI 3DS

LETTRE DE RENTREE

Bonjour à toutes et tous
 
En cette rentrée mouvementée plusieurs infos importantes à vous transmettre pour que vous ayez toutes les informations et ayez connaissances de vos droits.

 2 points abordés:
Le périmètre de l'obligation et le calendrier; le contrôle de l'obligation vaccinale et l'accès à la vaccination pour les personnels. 
La situation des personnes vulnérables 
 
L OBLIGATION VACCINALE

Le SNICS FSU  NATIONALE A EU AUDIENCE AU MINISTÈRE et a tenu à rappeler ce que les infirmier.es de l'Education nationale subissent depuis 18 mois (absence de moyens, pas de créations de postes ni de reconnaissance du travail effectué, dégradation de l'état de santé et des conditions de travail…)
Un nombre non négligeable de collègues concerné.es sont des fonctionnaires qui ont assumé leurs missions sans faillir, le SNICS demande au Ministre que toutes les situations particulières fassent l'objet d'un examen individualisé, de faire preuve de bienveillance et de cohérence dans l'application de cette loi en trouvant des solutions pour les collègues qui expriment un refus face à l'obligation vaccinale.
S'appuyant sur la loi et la circulaire de la DGAFP, le SNICS FSU demande que des affectations temporaires soient proposées à ces collègues sur des missions non infirmières de façon à ce qu'elles échappent aux sanctions. Chaque situation particulière doit faire l'objet d'un examen personnalisé, certain.es collègues ont fait part de leur souhait de changer d'orientation professionnelle , le SNICS FSU demande à ce que les refus de départ en formation, mise en disponibilité ou ruptures conventionnelles
cessent et que toutes et tous bénéficient d'un accompagnement bienveillant et respectueux.

Beaucoup d'incompréhension et de colère accompagnent cette mesure, les infirmier.es, corps uni et solidaire, attendent de leur ministre qu'il fasse preuve de souplesse et de cohérence. Après tout, c'est ce même ministre qui a obligé les infirmier.es de l'Education nationale à travailler avec des masques grand public au titre de leur exercice spécifique ; "leur activité de soins et le public accueilli non fragile ne justifiait pas les mêmes moyens de protection que les autres professionnel.les de santé". Comment comprendre aujourd'hui que le ministre de la Santé ait qualifié les élèves de population non fragile et qu'on applique cette loi sans dérogations, voire même avec une pointe de zèle ?...

Sans surprise, le MEN va respecter la loi votée à une large majorité et donc les infirmier.es, médecins, psyEN et les personnels qui travaillent dans les mêmes locaux ont une obligation vaccinale. Le calendrier va s'appliquer dans les délais prévus par la loi et les suspensions sont prévues à partir du 16 octobre.

Les collègues justifiant d'une contre-indication médicale à la vaccination peuvent déroger selon les dispositions très restrictives prévues par la loi.

Le SNICS pose la question épineuse de la vérification du statut vaccinal; il rappelle que ce statut est reconnu par le Conseil d'Etat comme une donnée de santé sensible, confidentielle et demande, à ce titre, qu'elle soit réalisée par un personnel médical. Les chefs d'établissement refusent d'effectuer cette tâche supplémentaire rendue impossible par leur charge de travail. L'administration envisage un contrôle par les services RH sans avoir encore pu déterminer qui s'en chargerait (pour rappel, les ICT ne sont pas des personnels affectés au ressources humaines).

Après débat, une porte finit par s'ouvrir . Alors que les affectations temporaires prévues par la DGAFP ne s'appliquent qu'aux personnels non soignants, le ministère envisage une rédaction plus souple dans l'intention qui permettra "aux personnels infirmiers d'être affectés sur des fonctions non infirmières les protégeant de l'application stricte de la loi, sous réserve de compatibilité avec les besoins de l'administration". Au regard des écrits de certaines académies, il conviendra de faire vivre cette souplesse par l'action syndicale.

Pour les collègues titulaires qui ne souhaiteraient pas se faire vacciner, elles et ils doivent être accompagné.es par les représentant.es du SNICS, demander un accompagnement RH spécifique leur permettant de trouver des solutions, type affectations sur des tâches administratives ou des postes administratifs (cellules Covid, postes ICT vacants , chargé.es de prévention, services départementaux et académiques, RH de proximité, détachement MDPH etc).
Pour les collègues contractuelles qui ne souhaiteraient pas se faire vacciner, la mesure de suspension s'appliquera. Le SNICS doit donc leur conseiller de ne pas signer leur contrat afin de bénéficier du chômage et non d'une suspension à partir du 16 octobre.
Les collègues en arrêt maladie n'ont pas l'obligation de répondre aux interrogations de leur employeur pendant la durée de leur congé.

La suspension d'agent.es va très rapidement poser la question de la continuité du service public, comment sera assuré le remplacement des collègues suspendu.es ou réaffecté.es ? L'administration n'a pas envisagé de blocs de moyens provisoires pour suppléer à ces absences mais rappelle que la continuité du service est l'une de ses obligations. La DGRH renvoie donc au dialogue local...


D'autres points n'ont pas trouvé de réponses justifiées en droit: la définition des locaux puisque l'obligation s'applique aux personnels qui partagent les mêmes locaux; quid des personnels itinérants ? Faut-il que tout le collectif de travail des premier et second degrés soit vacciné (assistantes sociales, secrétaires, chefs d'établissements...) ? Quelle définition pour les personnels qui exercent de façon temporaire ? Quid des remplacements "ponctuels" qui ne sont pas soumis à l'obligation vaccinale?
Là encore un cadre national clair et précis est une nécessité pour limiter les dérives et respecter le droit des agent.es.

Concernant l'accès à la vaccination, la circulaire rappelle les possibilités d'autorisations spéciales d'absence (ASA) pour se rendre dans les centres de vaccination mais aussi l'accès aux campagnes de vaccination en direction des élèves, et le placement en ASA en cas d'éventuels effets secondaires liés à la vaccination.

La DGRH a tenu à rappeler l'attention particulière portée par le Ministre pour que cette campagne de vaccination ne pèse pas sur les personnels infirmiers.

La circulaire devrait arriver rapidement dans les académies et devrait être transmise directement aux personnels concernés.
Elle remplacera les circulaires académiques préexistantes . 
 


PERSONNES VULNÉRABLES 
Un nouveau décret est paru, il entre en vigueur le 27 septembre. 
 
Les critères qui définissent les agents vulnérables restent inchangés.
A partir du 27 septembre vous pouvez soit:
*regagner votre de travail avec des mesures de protection renforcées ( énoncées dan sla circulaire) 
*soit  demander le placement en autorisation spéciale d'absence sur le fondement d'un certificat médical d'isolement. En cas de désaccord avec votre supérieur hiérarchique, il peut saisir la médecine du travail qui se prononcera sur le degré de votre exposition.  

 

MOBILISATION jeudi 10 juin 2021

 

Alors que le Ministre de l’Éducation nationale se targue d’une volonté de revaloriser les métiers et se répand dans les médias sur les avancées du Grenelle de l’éducation.


Alors que le Ministre des Solidarités et de la Santé vante un historique accord dit du « Ségur de la Santé », axé sur une reconnaissance considérable à l’égard de celles et ceux qui ont été en première ligne pour lutter contre l’épidémie.

 


Alors que le Premier Ministre encense les infirmier.es, témoigne de leur abnégation, de leur sens du devoir, de leur attachement à leur métier et au Service public.

 

DOUCHE FROIDE POUR LES INFIRMERS DE L EDUCATION NATIONALE 

 

 Oubliés du SEGUR , et négligés du grenelle de l'éducation. Le personnel infirmier est  scandalisé et exige des revalorisations dignes de leurs responsabilités et compétences, pas l’aumône.  

 

NOUS EXIGEONS 

- Un recrutement massif d’infirmier.es de l’Éducation nationale et de l’Enseignement Supérieur.


- Une revalorisation pérenne des salaires au niveau de la catégorie A type. 


- Une formation de spécialité ambitieuse à la hauteur des enjeux de l’École.


- De réelles mesures visant leur protection et l’amélioration de leurs conditions de travail. 

 

 

APPEL A LA MOBILISATION

 

C’est une grande journée de mobilisation que le SNICS organise le JEUDI 10 JUIN à PARIS .

Afin de mobiliser le plus possible pour notre profession, le SNICS Lille organise un rassemblement à PARIS sous forme de CONGRES EXTRAORDINNAIRE qui permet à tout personnel infirmier (titulaire, contractuelle, syndiquée ou pas, …) de se mobiliser sans perte de salaire.

 

NOUS CONTACTER PAR MAIL (lillesnics@gmail.com) ou par tél ( 06.75.72.21.58 ou 06.38.30.50.99) pour les modalités.

 

MODALITES 

  1. S’inscrire obligatoirement auprès du SNICS par mail : lillesnics@gmail.com en confirmant le choix de la gare de départ (calais, lille, bethune, arras, valenciennes,etc.....)

  2. Le SNICS vous transmet en retour votre convocation à joindre à votre demande d’autorisation d’absence.

  3. Faire une demande d’autorisation d’absence auprès du supérieur hiérarchique ; Le délai de dépôt de demande d'autorisation spéciale d'absence pour participer à un congrès est de 3 jours avant la tenue du congrès. Nous vous conseillons cependant de la déposer ou de l'envoyer 8 jours avant. En général, il n'y a pas de réponse, ce qui vaut accord puisque cette autorisation spéciale d'absence est de droit (article 13 du décret F P. n° 82-447 et la note de service Éducation Nationale n° 85-043). Cette autorisation couvre non seulement la durée du congrès mais également les délais de route pour s'y rendre.

Si vous aviez des difficultés à faire appliquer vos droits pour participer à ce congrès,  n’hésitez pas à nous le signaler d’urgence.

       

 Préparez vos blouses blanches. Amenez vos appareils photos !

  1. Organisation du déplacement par le SNICS LILLE : les départs ont lieu des gares de LILLE, ARRAS, CALAIS, SAINT OMER, et autres gares selon les demandes. Les horaires de départ et retour vous parviendront rapidement.

           Les collègues du SNICS vous accueilleront sur place quelle que soit la gare de départ.

Horaires prévision départ matin vers 10h

Horaires prévision départ PARIS vers 17h30

  1. MANIFESTATION : elle se déroulera de 13h à 17h environ. Un service de sécurité est organisé.

  2. PARTICIPATION aux frais de 30 euros (quel que soit le prix du billet) à envoyer à Frédérique MONTUY 1 Rue du Tertre 62500 SAINT MARTIN LEZ TATINGHEM ou à remettre le 10 juin 2021

  3. Une attestation de présence sera délivrée sur place pour transmission au supérieur hiérarchique.

  4. CONSIGNES SANITAIRES/ COVID 19 : Nous sommes bien conscients du contexte actuel et tout sera mis en œuvre pour ne pas prendre de risque insensé !! les consignes sanitaires seront respectées par tous.

Communiqué de presse

«Derrière le vernis de façade se cachent beaucoup de souffrances et d’injustices»

 

A l’occasion de la restitution des ateliers du Grenelle de l’Education, Jean-Michel Blanquer évoque des engagements sans aucune garantie pour les années à venir, abandonnant toute idée de loi de programmation pluriannuelle qui aurait permis de donner de la visibilité et de la crédibilité au processus.Aucune annonce spécifique pour les infirmier.es qui sont les moins bien payé.es de la Nation, privé.es de revalorisation, de justice sociale et d’équité. Le Ministre a longuement salué l’engagement des personnels du service public de l’éducation pendant la crise sanitaire, mais les mots ne suffisent pas! Les infirmier.es sont les grand.es oublié.es du Grenelle. L’Ecole n’aurait pu rester ouverte sans l’engagement sans faille des infirmier.es de l’Education nationale. Un engagement dont elles-ils payent le prix fort : deux infirmier.es sur trois se déclarent en souffrance au travail, un.e infirmier.e sur deux est en arrêt maladie à cause des conditions de travail, 66% souhaitent quitter leur fonction. Le discours d’autosatisfaction sur l’«Ecole ouverte» occulte les profondes injustices liées aux conséquences de la crise sur l’état de santé des élèves et étudiant.es qui touchent plus durement les plus fragiles et creusent irrémédiablement les inégalités sociales. A moyens constants et en première ligne, les infirmier.es sont les témoins des conséquences délétères de cette crise sur la jeunesse. De plus, le ministre de l’Education nationale organise des glissements de tâches en préconisant, dans un prochain arrêté, que l’infirmier.e réalise les visites médicales des enfants âgés de trois à quatre ans en lieu et place d’un médecin lorsque le conseil départemental (PMI) est défaillant.

 

 

Les infirmier.es de l’Education Nationale

ne peuvent plus se taire,

elles-ils manifesteront à Paris le 10 juin.

 

Le SNICS-FSU exige un plan d’urgence

 

RECRUTEMENT-REVALORISATION-RECONNAISSANCE

 

Paris, le 27 mai 2021Contact Presse:Saphia Guereschi 06 87 89 13 34 Carole Pourvendier -06

Pour que les infirmier.e.s restent au sein des établissements scolaire pour continuer à répondre aux besoins des élèves.

CRISE SANITAIRE .... COVID 19

Pour toutes les informations concernant la crise sanitaire, 

consulter l'onglet COVID 19

vous y retrouverez un maximum d'information.

CAPA 2020

VOICI LA DÉCLARATION PRÉALABLE DU SNICS/FSU que nous avons transmise au rectorat pour la CAPA devant se tenir le 5 juin :

 

Mesdames et  Messieurs les représentants de l’Administration,

Nous devons nous réunir ce vendredi 5 juin pour la CAPA des infirmières.

L’ordre du jour concerne plusieurs points dont certains nous amènent à formuler ces réflexions :

ENTREE DANS LE CORPS DES INFIRMIERES DE L’EDUCATION NATIONALE :

Lors de la CAPA du 13 juin  2019, nous avons acté l’intégration de Mme SICOT Sellez Maryline. Nous découvrons dans les documents préparatoires qu’une 2e intégration a eu lieu sans transmission de l’information aux commissaires paritaires (Mme BOULEBDA). Pour rappel, la liste complémentaire du concours 2019 n’a permis que 3 recrutements sur 10 possibles.

Cette année, alors que nous avons à l’ouverture du mouvement 2020 plus de 30 postes vacants, seul 6 postes sont offerts au concours pour le recrutement 2020.

L’administration persiste à ne pas couvrir les besoins en postes infirmiers ETP par voie de concours (le nombre d’inscriptions à ce concours permettrait de couvrir plus de postes). Le ministère attribuant le nombre de postes que le rectorat sollicite, nous nous interrogeons sur l’objectif de recruter si peu … si ce n’est que pour avoir recours à des détachements….Trop de postes non pourvus seront occupés par des contractuels infirmiers qui, nous  le rappelons, sont rémunérés sur la base de la catégorie B (Infirmières qui effectueront les mêmes missions que leurs collègues INFENES en catégorie A)

 

L’AVANCEMENT 2020 :

Un groupe de travail sur ses modalités a eu lieu le 11 février 2020.

Depuis plusieurs années, les représentantes du SNICS/FSU demande une projection de la future fusion des 2 classes CN et CS en 1er grade (fusion prévue en 2022). En effet, avec un taux de promotion de 10 à 11% nous craignons un goulot d’étranglement dans l’avenir à l’échelon terminal du nouveau 1er grade. L’administration s’est engagée à proposer un nouveau GT avant la CAPA. On peut comprendre que la crise sanitaire n’a pas permis qu’il se tienne. Mais alors, pourquoi l’administration qui dit entendre les arguments, persiste à proposer l’avancement à l’ancienneté Education Nationale ? Barème injuste et discriminant pour le SNICS/FSU et pour une vingtaine de collègues au dernier échelon sans perspective d’évolution de carrière ni salariale pour quelques années encore....

Dans cette période, des collègues, après nous avoir interpellées à  plusieurs reprises, se sont manifestées auprès de l’administration pour dénoncer cette «  injustice ». La réponse apportée par la DEPA à l’une de nos collègues, nous interpelle, je cite  : … «  Le groupe de travail en février 2020 a étudié de nouveau les critères de proposition de promotion. Au titre de l’année 2020, et comme les années précédentes, pour l’accès à la classe supérieure, le premier discriminant retenu reste à ce jour l’ancienneté Education Nationale dans le corps des infirmières de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur »

Les personnels s’interrogent sur la réponse de l’administration.

Les représentantes du SNICS/FSU ne peuvent accepter cette réponse de l’administration à nos collègues.

La CAPA ne peut être une « chambre d’enregistrement » de décisions prises par l’administration qui ne tient pas compte de notre demande argumentée et bien qu’un désaccord (incompréhensible) existe, ne doit-il pas être en faveur de ces collègues et de la représentativité syndicale ?

 

 

MOUVEMENT 2020

Bien qu’il ne soit plus à l’ordre du jour, ce que nous regrettons fortement, nous souhaitons  aborder le  mouvement 2020. De nouvelles modalités laissent les représentantes des personnels dans l’opacité.

L’ouverture du serveur s’est faite en période de confinement. Les collègues se sont retrouvées seules face à une administration injoignable pendant le confinement, des collègues et établissements absents pour cause de congés scolaire. Les commissaires paritaires ont su se rendre disponible pour les accompagner au mieux malgré une procédure peu claire ; entre la circulaire et les informations sur AMIA..… signature du chef d’établissement ou pas.., une liste de documents à fournir …un mail d’informations bien tardif….il était parfois difficile de s’y retrouver. Nous espérons que l’administration a tenu compte de ce contexte anxiogène pour nos collègues.

Le résultat devait être communiqué aux collègues ce vendredi 29 mai mais il a été reporté à la dernière minute faisant fi de l’inquiétude de nos collègues ….pour un problème en provenance du ministère et indépendant du rectorat.

Les commissaires paritaires sont très inquiets des conséquences à venir pour nos collègues sur la mobilité des personnels infirmiers.

 

LE REGIME INDEMNITAIRE

Nous sommes dans l’attente d’un GT sur la revalorisation de l’IFSE. Il nous tarde d’y être.

Concernant la NBI handicap, un GT a eu lieu au ministère en juillet 2019 mais force est de constater que le temps passe, pas de réponse à notre demande d’attribution légitime et que des droits sont perdus pour de nombreuses collègues qui n’ont pas attendus cependant pour prendre en charge et suivre ces enfants porteurs de handicap…

Nous espérons une réponse favorable à notre demande lors du prochain GT sur le régime indemnitaire.

D’autres points sont aussi source d’inquiétudes pour notre profession au sein de l’Education Nationale. Cependant nous les aborderons lors de notre audience à venir avec madame le Recteur.

  

Au regard de l’ensemble de ces éléments et dans cette attente de rétablir un véritable dialogue social auxquels nous sommes aussi très attachés,  les commissaires paritaires, représentantes du SNICS/FSU, syndicat majoritaire pour les infirmières de l’académie de LILLE, vous informent qu’ils ne siégeront pas ce vendredi 5 juin à la CAPA des INFENES.

 

 

Les commissaires paritaires du SNICS/FSU

Pour le hors classe : Marie VERVAECKE

Pour le classe supérieure : Valérie GRESSIER

Pour la classe normale : Claire DAMADE et Christelle VERON

 

 

 

 

 

AMPLIFIER LA MOBILISATION ET LA GREVE POUR GAGNER  ! 

 

Les mobilisations ne faiblissent pas et de très nombreuses actions ont eu lieu pendant toute la période de fin d’année : déploiements, concerts, réveillons revendicatifs, distribution de jouets et actions de solidarité,  manifestations et rassemblements... il n’y a pas eu de trêve. Les cheminot.e.s, les agent.e.s de la RATP, comme les personnels de l’Opéra de Paris et toutes celles et ceux qui sont en grève depuis le 5 décembre, sont plus que jamais déterminé.e.s et décident chaque jour, la reconduction de la grève. La population, malgré les pressions gouvernementales et médiatiques, soutient très majoritairement le mouvement social. Elle manifeste son soutien en versant massivement aux caisses de solidarité ou en participant aux initiatives initiées par les organisations syndicales et les grévistes. Face à ce mouvement inédit, le gouvernement joue l’enlisement, certains de ses ministres stigmatisant les secteurs qui refusent de négocier des régressions sociales. Lors de ses vœux, le Président de la République, a confirmé qu’il n’entend  rien, se contentant de répéter les mêmes affirmations qui n’ont convaincu personne depuis deux ans. L’intersyndicale réclame le retrait du projet de réforme pour ouvrir des négociations constructives afin d’améliorer le régime actuel pour tous les secteurs professionnels et toutes les générations.  Face à un tel mépris du Président et du gouvernement, les organisations syndicales CFECGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, Unef et UNL appellent à construire les conditions d’une grève interprofessionnelle d’ampleur, dès le 9 janvier, avec des manifestations partout sur le territoire. Elles appellent  à mettre en débat, dès lundi, dans toutes les entreprises, services et lieux d’ études en organisant des assemblées générales de salarié.e.s, d’étudiant.e.s et de lycéen.ne.s, les conditions de la réussite du 9 janvier et de ses suites dès le lendemain. Elles appellent à faire du samedi 11 janvier, une journée de manifestation dans tout le pays. Pour gagner, il faut élargir et amplifier le mouvement dans tous les secteurs professionnels dès le 9 janvier. Les organisations décident d’ores et déjà de se revoir dès le 9 janvier 2020 au soir. 

La FSU et le SNICS s’engagent donc, en interprofessionnel pour intensifier la mobilisation et à faire du jeudi 9 janvier  une nouvelle journée de mobilisation massive de grève et de manifestations.

 

 

Aperçu de l’image

 

Jeudi 05 décembre, mobilisation historique des infirmier.es de l'Education nationale contre le projet de réforme des retraites.

Le gouvernement s'obstine
 
Dans un contexte de mobilisations historiques, les annonces du Premier ministre confirment que le gouvernement maintient son choix d'une retraite universelle par points ainsi que son calendrier d'élaboration d'un projet de loi. Il n'a donc pas pris la mesure des revendications et de la colère exprimées massivement depuis plusieurs jours dans les grèves et manifestations comme le 5 décembre dernier.
Le premier ministre n'a pas levé le flou sur les contenus de la réforme, il a en revanche confirmé la dégradation de la situation notamment avec la mise en place d'un âge pivot à 64 ans, la suppression de tous les régimes spéciaux et la fin du code des pensions. La FSU continue d'affirmer que cette réforme sera inégalitaire, notamment entre les femmes et les hommes, et qu'elle conduira à une baisse du niveau des pensions pour toutes et tous les salarié.es. Les agents.es de la Fonction Publique seraient particulièrement impacté.es par les effets néfastes de ce nouveau système en particulier pour les bas salaires.
Les enseignant.es sont plus inquiet.es qu'ils et elles ne l'étaient déjà. Le Premier ministre, bien que reconnaissant les pertes, ne propose aucune solution et renvoie à des discussions sur les carrières et les métiers, ne levant le flou ni sur les compensations, si sur la revalorisation. En outre, il confirme ainsi les propos du ministre de l'Education nationale sur les contreparties inacceptables liées aux missions et au temps de travail. Il n'a eu aucun mot pour les personnels non-enseignants.
Les mesures concernant la transition avec une réforme applicable à partir des générations 1975 laisse à penser que nous pourrions accepter de laisser «l'héritage» d'un système des retraites défavorable aux générations à venir.
Il maintient le cap, joue la division entre les catégories et les générations, et confirme une réforme qui lèsera tout le monde.
C'est pourquoi la FSU appelle les agent.es de la Fonction Publique, les  salarié.es, les jeunes, les retraité.es à poursuivre et amplifier les mobilisations et de s'engager avec force dans les actions décidées par l'intersyndicale interprofessionnelle du 10 décembre,  dès le 12 décembre localement, puis le week-end, et de faire du 17 décembre une nouvelle journée de mobilisation interprofessionnelle massive de grèves et de manifestations.
 
Clermont Ferrand, le 11 décembre

TOUS à PARIS le Mardi 22 Janvier 2019

POURQUOI ????

un rapport sur la santé des 0/6 ans doit être transmis au Ministre de l' EN et à la Ministre de la Santé courant Mars. Les travaux du séminaire menés par des médecins laissent présager de grandes inquiétudes sur notre place dans ce contexte de pénurie médicale. 

Il faut défendre notre place à l'éducation Nationale 

il faut défendre la Santé à l'école !!!

 

OU ???? A Paris

le SNICS  Lille organise le déplacement à paris le     MARDI 22 janvier 2019 

 

LES MODALITÉS DE PARTICIPATION C'est organisé sous forme de congrès extraordinaire qui permet de participer, de faire une demande d'absence (avec la convocation que nous vous transmettons) et de ne pas perdre une journée de salaire (comme lors d'une gréve)

La Participation est de 30 euros au frais

 

On a toujours une bonne raison pour ne pas y aller .....

 

Souscription ouverte à tous (en cas d'impossibilité d'y participer)  pour contribuer à la prise en charge des frais (participation de 30 euros souhaitée) 

 

 

 

COMMENT FAIRE POUR PARTICIPER ?

 

1) s’inscrire auprès du SNICS par mail ou par téléphone (06 75 72 21 58). Nous vous transmettrons la convocation.

 

2) Il faut faire une demande d’autorisation d’absence ; Les délais de dépôt de demandes d'autorisations spéciales d'absence pour participer à un congrès sont de 3 jours avant la tenue du congrès. Nous vous conseillons cependant de la déposer ou de l'envoyer 8 jours avant. En général, il n'y a pas de réponse, ce qui vaut accord puisque cette autorisation spéciale d'absence est de droit (article 13 du décret F P. n° 82-447 et la note de service Education Nationale n° 85-043). Si l'accord vous était refusé, le refus devrait alors être justifié. En effet, cette autorisation étant de droit, on ne peut vous opposer ni « pseudo réquisition » puisque seul le préfet a pouvoir de réquisitionner, ni « nécessité absolue de service » sauf situation particulièrement grave, exceptionnelle et dûment prouvée.

Cette autorisation couvre non seulement la durée de la réunion mais également les délais de route pour s'y rendre.

Si vous aviez des difficultés à faire appliquer vos droits pour participer à ce congrès, n’hésitez pas à le signaler d’urgence à vos responsables syndicaux.

 

3) se rendre à PARIS:

* par ses propres moyens : SNCF, BLA-bla-car; Flixbus, covoiturage entre collègues.

                               ou

* en participant au déplacement organisé par le SNICS  LILLE.

Nous avons des billets de train au

Départ de LILLE ARRAS CALAIS ...

le matin vers 10h et retour vers 18h

INSCRIPTION OBLIGATOIRE 

la participation aux frais est de 30 euros pour tous, quelques soit le trajet.

 

 

LA PARTICIPATION FINANCIÈRE EST   à envoyer à Marie VERVAECKE

lycée Beaupré BP 700 79 à HAUBOURDIN 59481 cedex.

 

4) Préparez des slogans, des banderoles, vos blouses blanches portant des inscriptions, etc...

Amenez vos appareils photos .Vous pouvez prévoir votre sandwich.

 

 

GUIDE FSU SUR L' ACTION SOCIALE : a consulter dans l'onglet Action Sociale

DÉFENDONS LA PROFESSION 2016.. 2017... 2018 ... : toujours d'actualité ....

 

NOTRE PLACE A l' E.N.

NOS MISSIONS

Soyons dans l'action !!! certes c'est plus facile de remplir une pétition, répondre à une enquête ....

mais pour quel résultat ????? 

Peu nombreuses mais déterminés à Paris pour rester dans l'Education Nationale et d'avoir une réponse à la hauteur de notre demande !!! 

 

Pas convaincu du danger ???????????????

alors regardez ce flm :

http://www.lecese.fr/content/questions-denis-adam-unsa-education-sante-scolaire-sante-scolaire

 

 

 

RETOUR SUR CE QUI NOUS A DÉJÀ INQUIÉTÉ......

 

le SNICS FSU c'est mobilisé le 6 février 2018!

pourquoi ????

 

Alors que la Ministre de la santé communique à tout va et prépare un grand plan sur la santé des jeunes avec des orientations de santé publique, le Ministre de l’Education Nationale reste muet. Il s’est arrêté à la publication d’un communiqué de presse commun avec la Ministre de la Santé : « La politique de santé scolaire va désormais s’inscrire dans le cadre de la politique de santé publique »  A cela s’ajoute, l’ouverture d’un groupe parlementaire sur « la Santé à l’Ecole » ...

 

Devons-nous rester « muet/muettes » nous aussi ?

 

·      Si vous souhaitez rester à l'Education nationale, au cœur de l’équipe pédagogique et éducative, pour continuer à promouvoir la santé des jeunes dans l'objectif de leur réussite scolaire,

 

· Si vous souhaitez conserver les avancées acquises par notre profession au fil des ans dans le système éducatif,

 

·        Si vous n’acceptez plus le mépris avec lequel le gouvernement vous traite en niant et en minimisant le rôle des infirmières (travaux interministériels, rapport de l’académie de médecine, auto saisine du CESE, colloque à l’assemblée nationale, recours en conseil d'état, rapport du défenseur des droits des enfants, article dans la presse qui ne traitent que des difficultés des médecins etc…)

 

 Rejoignez-nous ! Exprimez-vous ! Faites entendre votre voix, celles des infirmières de l’Education Nationale pour décider de votre avenir.

 Rendez- vous au congrès extraordinaire du SNICS

 le 6 février 18 à Paris

 

 

AVIS CONSEIL D'ETAT ARRETE.pdf
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GROSSE INQUIETUDE !!!!!
Nous avons appris l'annulation de l'arrêté du 03 novembre 2015 par le conseil d'état en date du 24 novembre. C'est une digue de plus qui cède. 

 

Ce qui est remis en cause c'est la notion de transmission des données de l'examen prévu dans les annexes 1 et 2 :
"la disposition des personnels de l'éducation nationale des données issues des visites médicales et de dépistage obligatoires" "dans le respect du secret professionnel" n'est pas de nature à garantir le respect du secret.
Je vous laisse lire avec attention l'avis du conseil, il est très éclairant. 
L'ensemble de l'arrêté n'étant pas remis en cause, le SNICS sera prochainement en audience pour évoquer la suite de cet avis .... maintient avec modification des éléments bloquant ou changement de cap. 

 

Nous allons devoir nous défendre !! et nous devons  envisager une manifestation à PARIS 

COMMUNIQUER DE PRESSE DU SNICS/FSU  Le 3 Décembre 2017

 

Blanquer-Buzyn, ou Bonnie and Clyde font main basse sur la santé des élèves !

 

Le président de la République, qui se veut révolutionnaire, accompagné de ce couple infernal, vient de ressusciter un service de santé scolaire mis en extinction par la représentation nationale en 1982, car reconnu « obsolète, inefficace et inadapté à l’Ecole et à l’évolution de l’état sanitaire des jeunes ».

Alors que depuis des décennies, les gouvernements successifs n’ont eu de cesse de renforcer la dimension Éducative de la Politique de Santé à l’École, M. Blanquer et Mme Buzyn viennent de la réduire à l’image des affiches jaunies du début du 19ème siècle.

Nous connaissons l’attachement viscéral de certains à une vision hygiéniste, archaïque et corporatiste de la Santé à l’Ecole. Céder serait une erreur dans laquelle les infirmières de l’éducation nationale refuseront de s’inscrire.

NON ! A une politique de prévention hygiéniste.

OUI ! Nous continuerons de répondre, en priorité, aux demandes exprimés des élèves.

Nous ne les laisserons pas tomber !

 

 

SEPTEMBRE 2017

Cher(e) Collègue,
Nous espérons que votre rentrée scolaire s'est bien passée après de reposantes vacances.😎
Le bureau académique du SNICS/FSU vous souhaite une bonne année scolaire.
Nous vous accompagnerons, comme les années précédentes,
pour un meilleur suivi de votre carrière, pour vous informer régulièrement et pour défendre la profession infirmière au sein de l'éducation nationale :
- par notre bulletin académique d'informations syndicales "FLASH INFO" envoyé par mail
- par notre revue Nationale trimestrielle  " DE BUT EN BLANC"  envoyé par voie postale
- par notre site accessible à tous :  snics-fsu-lille.jimdo.com
- par l'organisation de réunions syndicales dans toute l'académie (Lille, Tourcoing, Armentières, valenciennes, Dunkerque, Douai, Arras, Saint Omer, Béthune, Boulogne....).
- par notre engagement de tous les jours à répondre à vos questions (mail, téléphone), à vous informer, à vous défendre, à vous représenter auprès des différentes instances. 
Nous vous invitons à assister à l'une de nos réunions syndicales à venir.
Pour être défendu, pour nous soutenir dans notre action et pour nous permettre de fonctionner tout au long de l'année scolaire 
ADHÉRER AU SNICS/FSU, syndicat majoritaire chez les infirmières. Votre cotisation nous est indispensable pour poursuivre notre action !
Vous trouverez en pièces jointes :
~Notre bulletin d'adhésion 2017/2018 à renvoyer à la trésorière du SNICS : Marie VERVAECKE lycée Beaupré, BP 70079, 59480 HAUBOURDIN cedex.
~La convocation à joindre a votre demande d'autorisation d'absence pour participer a l'une de nos réunions syndicales.
Nous savons pouvoir compter sur votre soutien.

A bientôt.

BULLETIN D'ADHESION
SNICS_bulletin_adhesion_2017_2018.pdf
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SEPTEMBRE 2017

 

Dans l'attente de notre circulaire des missions, nous découvrons celles des médecins et celles des assistants du service social en faveur des élèves.

Circulaire SS en faveur des élèves.pdf
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Annexes circulaire SS en faveur des élèv
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Organisation du service des médecins et
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L'année se termine et le SNICS/FSU a pendant toute l'année :

-          Combattu avec ferveur le respect des missions,

-          Défendu SEUL, et sans l’obtenir a son grand regret,  un régime indemnitaire IFSE égal pour toutes les infirmières de l’EN

-          Représenté de nombreuses collègues

-          Participé aux groupes de travail

-          Informé l’ensemble des collègues

-          Soutenu et défendu les collègues syndiqués

Nous espérons avoir répondu favorablement à vos attentes,

Cependant notre action syndicale ne peut perdurer sans votre cotisation  syndicale et votre soutien :

Participer à l’une de nos réunions syndicales,  Nous rejoindre au bureau académique, C’est faire vivre le syndicat. C’est défendre la profession infirmière au sein de l’EN !!

Nous vous souhaitons une bonne fin d’année scolaire 

REUNION SYNDICALE

 

 

Pourquoi y participer ?

Ces réunions sont ouvertes à TOUS et TOUTES. C'est un moment d'échanges, d'informations sur la profession et sur sa carrière. Les responsables syndicaux du SNICS/FSU souhaitent vous rencontrer pour vous expliquer ce que défend le SNICS et/ou maintenir un contact quand tout va bien ou que tous va mieux car le SNICS  vous a aidé, nous serons heureuses de vous revoir.

Comment y participer ?

Participer à une réunion syndicale est un DROIT. Votre autorisation d''absence ne peut vous être refusée. La convocation est à joindre à votre demande d’autorisation d’absence à faire auprès du chef d’établissement.

 

 

les MISSIONS DES INFIRMIÈRES :               une victoire du SNICS/FSU

Le groupe de travail sur les missions des infirmières a eu lieu ce vendredi 2 décembre 2016. 

Nous avons eu la surprise de la présence de Monsieur le Recteur Luc JOHAN.

Dès le début de la réunion, il nous a annoncé que nous avions gagné.

LES INFIRMIÈRES N'IRONT PAS EN MATERNELLE 

En effet, suite à nos manifestations et à la lettre du directeur du cabinet du ministère envoyé aux recteurs, Monsieur le recteur nous a annoncé que la circulaire des missions des infirmières serait appliquée.

Cependant, l'administration a cherché a nous culpabiliser sur l'absence de visite médicale en maternelle. Elle nous a demandé de faire des propositions pour y remédier !! 

Nous avons cherché a connaitre les missions des médecins ; il n'y a pas de document pour l'instant !!!! 

les échanges ont été important, un peu houleux, entre le recteur, le médecin conseiller technique du recteur et les représentantes du SNICS; mais nous n'avons pas lâché !!!

Souhaitant que les enfants soient vus en Grande section maternelle ou en début de CP,

les propositions actées lors de ce groupe de travail sont :

La visite médicale de la 6eme année sera réalisée conformément aux textes :

Par le médecin scolaire en grande section de maternelle GSM ;

En l’absence de couverture par un médecin scolaire, les parents seront sollicités pour réaliser cet examen par leur médecin traitant ou leur pédiatre (médecine de ville).

 

La future circulaire académique des missions des infirmières, conforme aux textes stipulera que :

 Dès l’entrée en CP, un repérage des enfants n’ayant pas eu de dépistage sensoriel au bilan de 4 ans (PMI), d’une visite médicale par un médecin scolaire ou par la médecine de ville, sera effectué. L’information sera ensuite transmise aux infirmières au moyen d’un document qui reste à formaliser.

L’infirmière effectuera alors le dépistage sensoriel en CP (vue et audition) pour ces enfants.

L’infirmière organisera ensuite du CP au CM2, le suivi infirmier.

 Le temps de travail sera de 50% sur le collège et 50% sur le primaire du CP au CM2.

Nous avons fait remarqué l'absence des conseillères techniques départementale à ce groupe de travail alors qu'elles seront chargées de la mise en oeuvre des missions sur le terrain.

 

les représentantes du SNICS/FSU

 

 

 

LETTRE DU DIRECTEUR DU CABINET TRANSMIS AUX RECTEURS

Paris Novembre 2016

 

Mesdames, Messieurs les recteurs,

Mesdames, Messieurs les directeurs

 

Le parcours éducatif de santé, créé par la loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République du 8 juillet 2013, intègre en son troisième axe l'ensemble des ressources mises à disposition de l'élève et de sa famille pour protéger sa santé, parmi lesquelles les visites médicales et de dépistage obligatoires prévues à l’article L. 541-1 du code de l’éducation.

L’arrêté interministériel du 3 novembre 2015 précise la périodicité et le contenu de ces visites médicales et de dépistage obligatoires ; il confie la responsabilité des visites médicales de la sixième année aux médecins et celle des visites de dépistage de la douzième année aux infirmiers de l’éducation nationale.

La lecture de circulaires académiques, ou de projets de circulaires, fait apparaître des organisations méconnaissant fortement celle promue par l'arrêté interministériel précité.

 

Une circulaire académique ne pouvant déroger à une réglementation nationale prévue par arrêté, je souhaite attirer votre attention sur certains points de la réglementation en vigueur :

- les médecins de l'éducation nationale sont tenus d’assurer les visites médicales de la sixième année, tout particulièrement dans les départements où la couverture des postes est bonne. En cas de manque de médecins de l’éducation nationale, la visite médicale de la sixième année sera, ainsi que le prévoient les textes, assurée par le médecin traitant de l'enfant, choisi par la famille. Il conviendra alors de mettre en place un dispositif permettant de recenser, en accord avec les parents des élèves concernés, les justificatifs certifiant que cette visite médicale a bien été réalisée, et de déterminer l’organisation du recueil des données qui auront été transmises aux parents par le médecin traitant de l’enfant, dans le respect du secret professionnel. 

- dans le second degré, au cours de la douzième année, les visites de dépistage obligatoires sont organisées, dont la responsabilité incombe aux personnels infirmiers;

- l'arrêté n’impose pas d’autre visite médicale ou de dépistage systématique supplémentaire, pour justement garantir la réalisation complète des deux prévues par la réglementation, qui sont obligatoires et auxquels les élèves ont droit.

- les personnels infirmiers peuvent néanmoins être amenés, en fonction de leur rôle propre et en supplément des visites  obligatoires, à mettre en place des consultations infirmières pour répondre aux besoins des élèves du premier degré, à la demande des parents ou des équipes éducatives, sans se substituer aux médecins. Ceci est conforme à leurs missions et aux objectifs de la loi de refondation qui insiste sur la priorité à accorder au 1er degré.

De la part de l’ensemble des personnels de santé de l’éducation nationale, il est attendu qu’une attention toute particulière soit portée aux élèves des écoles et établissements relevant des réseaux d’éducation prioritaire, des zones rurales ou d’autres territoires apparaissant comme défavorisés, ainsi qu’aux élèves des  ULIS, SEGPA et EREA ou ayant des besoins éducatifs spécifiques.

La collaboration entre les différents professionnels et les équipes éducatives doit être la règle. Elle est déterminante pour assurer un suivi des élèves qui favorise la promotion de la santé et qui développe une attitude responsable.

 

Si l’on peut saluer les modalités de travail qui se sont développées dans les académies, il convient cependant, tout en tenant compte des contextes locaux et des engagements respectifs, que vous vous assuriez que les modalités d’organisation et les formulations des circulaires académiques et départementales respectent le cadre réglementaire.

 

Le ministère continue à œuvrer pour assurer une meilleure couverture des emplois de médecins, notamment en renforçant leur attractivité.

 

VOILA !!! Y a plus qu'a !!!! 

 

 

MANIFESTATION DES INFIRMIERES jeudi17  novembre

 

Communique de presse

 

 

A l’appel de deux syndicats infirmiers de l’éducation nationale le SNICS-FSU et le SNIES-UNSA, représentant plus de 96% chez les personnels infirmiers de ce ministère, plus de 800 de nos collègues sont venus manifester leur mécontentement devant les fenêtres du ministère.

 

Le cabinet de Madame la ministre a reçu une délégation de nos deux syndicats.

 

-          Nous actons que des avancées significatives ont été annoncées sur les dossiers qui nous préoccupent et plus particulièrement sur la mise en oeuvre dans les académies des textes de missions des personnels infirmiers.

-          Nous actons la volonté annoncée et affichée par le cabinet de voir le droit s’appliquer dans sa plus stricte observance dans toutes les académies.

-          Nous prenons acte du courrier adressé par la ministre de l’éducation nationale demandant à de très nombreux Recteurs d’académies de réécrire leurs circulaires académiques dans le strict respect du droit et des textes publiés tant au code de l’éducation qu’au code de la santé publique.

-          Nous prenons acte de l’engagement du cabinet de la ministre de procéder à un contrôle de tous les textes académiques avant la fin de l’année civile 2016.

 

 

Nos deux syndicats resteront cependant mobilisés pour veiller à ce que ces engagements soient tenus et ne restent pas de vaines promesses.

 

 

Lettre ministre 17 novmebre VDEF.pdf
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Lettre Najat Intersynd Vdef.pdf
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Lettre Ministre SNICS 4 Octobre.pdf
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manifestation de la profession infirmière 8 novembre 2016

Forte mobilisation nationale des infirmier.e.s    #Soigne et tais-toi
Paris, le 9 novembre 2016

 

C’est toute une profession accompagnée de ses étudiant.e.s qui était, ce mardi 8 novembre 2016, dans les rues de Paris et des grandes villes, pour converger vers le Ministère de la Santé et les ARS en région afin d’exprimer leur colère et leurs inquiétudes.
Face à cette forte mobilisation, de près de 10 000 professionnel.le.s infirmier.e.s et étudiant.e.s sur Paris et de plusieurs milliers dans les grandes villes, une délégation représentant les différentes organisations infirmières salariées et étudiant.e.s à l’origine du mouvement a été reçue au Ministère par la Directrice Générale de l’offre de soins, Mme Armanteras-de Saxcé et son adjoint Matthias Albertone, mais également par le cabinet de la Ministre et son directeur adjoint, M. Nicolas Peju et la Conseillère Christine Gardel.
A l’issue de cette réunion et des problèmes soulevés par la délégation, le cabinet et la D.G.O.S ont « annoncé des annonces » de la ministre qui doivent se concrétiser au début du mois de décembre.
Face au manque de réponses concrètes du Ministère, les infirmier.e.s et étudiant.e.s seront vigilant.e.s sur la concrétisation et la nature de ces annonces. Et ce d’autant plus que l’absence de concertation directe avec la Ministre de la Santé renforce le manque de considération déjà éprouvé par les professionnel.le.s infirmier.e.s et les étudiant.e.s, notamment libérales/aux. Ainsi, les 17 organisations infirmières se préparent, déjà, à de nouvelles journées d'actions en début d'année 2017.

SUITE DE L'ACTION POUR LE RESPECT DE NOS MISSIONS A L'E.N. !!

le SNICS/FSU interpelle Madame la Ministre de l'Education Nationale

Lettre Ministre SNICS 4 Octobre.pdf
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CP Intersynd V Def.pdf
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Lettre Najat Intersynd Vdef.pdf
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les missions : le combat continue

 

Au niveau de notre académie : nous sommes toujours dans l’attente d’un nouveau groupe de travail et le SNICS vous sollicitera pour venir exprimer votre mécontentement devant le rectorat si les nouvelles propositions ne sont pas en adéquation avec nos missions.  Les textes doivent être respectés pour tous !!!

Au niveau National : Jeudi 29 septembre, à l’appel du SNICS-FSU, près de 800 infirmières venues de toutes les académies métropolitaines ont défilé dans les rues Parisiennes.

Leur demande était simple et appelait une réponse simple et claire de la part de la Ministre de l’Education Nationale : « Nous ne manifestions pas pour obtenir de l’argent en plus, nous ne manifestions pas pour obtenir des moyens supplémentaires, nous ne manifestions pas pour des préoccupations matérielles. Non, nous manifestions pour la Santé des élèves ! »

 

Nous demandions à la Ministre d’assumer sa Responsabilité.

Nous demandions à la Ministre de faire appliquer dans les académies, les circulaires et arrêtés, qu’elle a publiés l’année dernière. En effet, les recteurs d’académies publient des circulaires académiques qui sont en contradiction avec les circulaires ministérielles, avec la loi de refondation de l’école, avec la loi santé, avec un arrêté interministériel….

 

De plus, madame la Ministre avait commandé un rapport de la MAP (Modernisation de l’Action Publique), dont elle dit ne pas vouloir suivre les conclusions qui conduiraient à externaliser la santé à l’école et donc les infirmiers de l’éducation nationale.

 

Nous ne pouvons accepter le discours d’irresponsabilité qui a été tenu. La DGESCO et La Ministre ne peuvent pas se réfugier derrière les textes commis par les Recteurs en refusant d’assumer la responsabilité qui échoit à la Ministre et qui ne disparaît pas dans ces délégations de pouvoir.

 

Nous ne pouvons accepter que la DGESCO dise ne rien savoir de ce qui se passe dans les académies, alors que depuis plus d’un an nous ne cessons d’alerter.

 

Nous ne pouvons porter crédit à la parole de la DGESCO qui nous dit que les conclusions du Rapport de la MAP nous sont favorables alors que le Cabinet de la Ministre nous affirme ne pas vouloir suivre ces conclusions qui conduiraient à l’externalisation de la santé.

 

Le Conseil national du SNICS, Syndicat Majoritaire à plus de 64% dans le corps des infirmiers de l’éducation nationale, s’est réuni du 4 au 6 octobre et a décidé de poursuivre l’action.

 

Nous avons interpellé par un courrier la ministre de l’Education Nationale pour qu’elle prenne ses responsabilités.

 

Après contact avec les autres organisations syndicales, le SNIES/UNSA qui ne c'etait pas beaucoup inquiété jusque maintenant t rejoint le mouvement de contestation.

 

Cette fois, en intersyndicale SNICS/FSU et SNIES/UNSA nous manifesterons le

Jeudi 17 novembre 2016 à PARIS

Pour défendre nos missions et notre place dans l’Education Nationale !!

 

TOUS A PARIS LE 17 NOVEMBRE

 

 

Contacter dès maintenant le SNICS (par mail à « lillesnics@gmail.com)  pour l’organisation du déplacement à PARIS

 

 

Communiqué de Presse du SNICS-FSU

COURAGE   FUYONS !!!!!!

 

Jeudi 29 septembre,  à l’appel du SNICS-FSU, près de 800 infirmières venues de toutes les académies métropolitaines ont défilé dans les rues Parisiennes.

 Leur demande était simple et appelait une réponse simple et claire de la part de la Ministre de l’Education Nationale.

 Nous ne manifestions pas pour obtenir de l’argent en plus, nous ne manifestions pas pour obtenir des moyens supplémentaires, nous ne manifestions pas pour des préoccupations matérielles. Non, nous manifestions pour la Santé des élèves !

 Nous demandions à la Ministre d’assumer sa Responsabilité.

 Nous demandions à la Ministre de faire appliquer dans les académies, les circulaires et arrêtés, qu’elle a publié l’année dernière.

 En effet, les recteurs d’académies publient des circulaires académiques qui sont en contradiction avec les circulaires ministérielles, avec la loi de refondation de l’école, avec la loi santé, avec un arrêté interministériel….

 De plus, madame la Ministre avait commandé un rapport de la MAP (Modernisation de l’Action Publique), dont elle dit ne pas vouloir suivre les conclusions qui conduiraient à externaliser la santé à l’école et donc les infirmiers de l’éducation nationale.

 Courage, fuyons, hier la ministre n’a pas reçu de délégation de notre syndicat, mais a délégué cette tâche à la Direction de l’Enseignement Scolaire.

 Nous ne pouvons accepter le discours d’irresponsabilité qui a été tenu. La DGESCO et La Ministre ne peuvent pas se réfugier derrière les textes commis par les Recteurs en refusant d’assumer la responsabilité qui échoit à la Ministre et qui ne disparaît pas dans ces délégations de pouvoir.

 Nous ne pouvons accepter que la DGESCO dise ne rien savoir de ce qui se passe dans les académies, alors que depuis plus d’un an nous ne cessons d’alerter.

 Nous ne pouvons croire la DGESCO qui nous dit ne pas travailler en lien avec les académies quant à la mise en œuvre des textes ministériels.

 Nous ne pouvons porter crédit à la parole de la DGESCO qui nous dit que les conclusions du Rapport de la MAP nous sont favorables alors que le Cabinet de la Ministre nous affirme ne pas vouloir suivre ces conclusions qui conduiraient à l’externalisation de la santé.

  

Le Conseil national du SNICS, Syndicat Majoritaire à plus de 64% dans le corps des infirmiers de l’éducation nationale, se réunira la semaine prochaine du 4 au 6 octobre et décidera des suites à donner à cette action sans exclure de poursuivre le mouvement y compris dans l’unité.

  

                                                     

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Depuis la parution au BO du 12 novembre 2015, les nouvelles missions des infirmières sont applicables.  Cependant nous étions en attente de la circulaire rectorale qui doit être une déclinaison académique des missions. Les organisations syndicales (le SNICS/FSU, le SNIES/UNSA, le SGEN, le SNALC) ont participé à un groupe de travail ce mercredi 14 septembre au rectorat.

Le secrétaire Général, Mr MARTINY nous a expliqué que le recteur souhaitait pallier aux manquements, dans un contexte de difficultés sociales et un objectif de réussite scolaire et  madame Muriel DEHAY infirmière conseillère auprès du recteur, nous a présenté un document :

Il nous est demandé :

D’effectuer un dépistage infirmier incluant les difficultés d’apprentissage en GRANDE SECTION MATERNELLE en utilisant un outil  ERTLA 6 (Epreuve de Repérage des troubles du langage et des apprentissages à 6 ans). 30 min pour le Dépistage infirmier + 20 min pour le ERTLA 6 =  50 minutes par enfant de GSM !!!

Et une fois par mois une réunion de concertation avec médecin, enseignant pour « analyse médicale du dossier » sur la suite à donner.

Bien sûr, nous aurions tous le matériel pour effectuer le dépistage infirmier (identique à celui de 12 ans) nous serions formé à l’utilisation de outil ERTLA 6 (en 2 jours!!) et la gestion administrative (convocations et dossiers) serait faite par les secrétaires médicales !!!!!!!!!!!  

Et pour le reste de nos missions : un déni complet de ce que nous vivons au quotidien pour la réussite scolaire des élèves !!!

Pour le SNICS/FSU ce fut difficile de contenir notre colère !! ! D’ailleurs nous sommes intervenus pour demander si nous étions bien à un groupe de travail infirmier ou médecin !!

Pendant 2 heures nous avons défendu les missions des infirmières en primaire,en collège et en lycée en démontrant avec des arguments que cette proposition n’était pas conforme avec les textes :

- La visite de 6 ans est une visite médicale (cf texte missions et code de l’éducation), elle peut être effectué par un médecin de ville si besoin est. Le rectorat dispose de moyen financier alloué par le ministère pour recruter des médecins vacataires, des étudiants en médecine.

- L’outil ERTLA 6 est un outil destiné aux médecins (scolaire ou de ville); l'achat de l'outil et le coût des 2 jours de formation pour chaque infirmière ne semble pas poser de problème !!!

- Les infirmières ne peuvent intervenir en maternelle (cf textes) si nous intervenons 50 min par enfant + les réunions et le reste… Que reste-t-il comme temps pour effectuer le reste de nos missions sur le temps de primaire ?

- Cette proposition ne valorise pas le travail des infirmières et favorise la perte de chance pour les élèves que nous pourrions accompagner en primaire du fait du non-respect de nos missions et du temps de travail affecté à autre chose.

Seul le SNIES/UNSA s’est joint à nous pour refuser cette proposition. Ensemble nous avons obtenu un report de 15 jours.

AUJOURD’HUI nous interpellons TOUTES LES COLLEGUES (syndiquées, non syndiquées, sympathisante, stagiaires, ...) :

L’avenir de la profession et la mise en œuvre de nos missions se jouent MAINTENANT !! ET C’est l’affaire de Tous et Toutes !!  

TOUS A PARIS LE 29 SEPTEMBRE !!!!

Le SNICS compte sur la participation de toutes les infirmières le jeudi 29 septembre pour défendre nos missions à paris.  

Inscrivez-vous en répondant à ce mail, nous vous transmettrons en retour la convocation et les modalités de déplacement à PARIS.

 

Cette journée se déroule sous forme de congrès exceptionnel qui permet à toutes les infirmières (syndiquées, non syndiquées, stagiaires, contractuelles) de participer sans perdre une journée de salaire (comme c’est le cas lors d’une grève avec manifestation). 

le SNICS/FSU attend vos réactions, nous en tiendrons compte pour envisager l'avenir ...... 

 

 

MISSIONS DES INFIRMIERES: ce que nous voulons

Maintenant c’est à nous tous, sur le terrain de faire vivre ces textes et de choisir l’avenir de la profession infirmière à l’Education Nationale.

 

Scénario de l’ascenseur : Je travaille dans le respect des textes (missions + arrêté) :

 

-       Je suis en conformité avec la loi,

-       mon exercice professionnel requière une grande autonomie,  mon accompagnement prend en compte le jeune dans sa globalité, mes consultations infirmières sont ciblées et personnalisées,

-       je travaille en complémentarité des autres membres de l’équipe éducative  en 1er et 2ème degré notamment dans le cadre du parcours éducatif santé et du suivi d’élèves signalés,

-       je travaille en complémentarité des médecins de l’Education Nationale en assurant le suivi des élèves qu’ils ciblent, et que je leur signale,

-       je suis dans une pratique de catégorie A,

-       je mets en œuvre mes capacités à analyser, concevoir, évaluer… qui sont les déterminants du niveau de Master que nous défendons,

-       je suis en position de revendiquer une spécialité à l’Education Nationale au niveau Master et le salaire qui va avec,

-       je justifie ma position au sein de l’Education Nationale, et en particulier l’organisation de mon emploi du temps spécifique (36 semaines en présence des élèves et règle des 90%-10%).

 

Scénario du tobbogan : Je travaille hors cadre législatif (en particulier les visites infirmières qui se substituent aux visites médicales des 6 ans) :

-       Je ne suis pas en conformité avec la loi (une lettre de cadrage ne se substitue pas à un arrêté), je suis en exercice illégal de la médecine,

-       je favorise la perte de chance pour ces élèves qui ne bénéficieront pas d’une visite médicale permettant de dépister précocement les troubles du langage et des apprentissages (qui peut être assurée par un médecin traitant),

-       je n’assure pas les missions inhérentes à ma fonction, et en en particulier celle de favoriser la réussite scolaire par un suivi pertinent et personnalisé,

-       je favorise la perte de chance pour ces élèves que je ne pourrais accompagner du fait du non-respect de mes missions et du temps de travail que j’affecte à autre chose,

-       je ne suis pas dans une pratique de catégorie A (du temps de la médecine scolaire, les pesées et mesures étaient effectués par des assistants médicaux en catégorie C),

-       je n’ai pas de spécificité d’exercice, je ne suis plus en position de revendiquer une spécialité à l’Education Nationale au niveau Master et le salaire qui va avec,

-       je n’ai plus de spécificité Education Nationale, je suis dans la situation idéale pour la création d’un corps infirmier interministériel et avec lui la disparition de notre emploi du temps spécifique !

 

 

Ne nous leurrons pas, d’autres sont en train de choisir pour nous ! Notre avenir nous appartient !

 

 

ELECTIONS PROFESSIONNELLES 2014 : les résultats 

Nous tenons à remercier toutes les infirmières de l’académie de LILLE qui nous ont renouvelé leur confiance, en plaçant le SNICS-FSU largement en tête aux élections professionnelles

         Le SNICS-FSU  conforte sa représentativité et obtient 63 % des voix (+2 % depuis 2010).  Il obtient 4 sièges sur 6 à la Commission Administrative Paritaire Académique (C.A.P.A.).

         Avec un taux de participation de 60.11 %, les infirmières de l’académie envoient un signal fort pour la défense de leur profession au sein de l’éducation nationale et engagent le SNICS, syndicat majoritaire, à continuer d’incarner un syndicalisme de proximité, et portant haut la Santé à l’Ecole pour la réussite scolaire des élèves et des étudiants.

 

Jeudi 22 novembre à PARIS, les infirmières de l'éducation nationale ont été entendues!!!

Communiqué de presse :

Message fort du Ministre de l’Education nationale en faveur de la Santé à l’Ecole :

 

 

Une forte mobilisation des infirmières de l’Education nationale de la métropole (plus de 1600, 1200 selon les renseignements généraux !) soit entre 22,7% et 17,4% du corps est venu manifester le 22 novembre  à Paris à l’appel du SNICS-FSU. Les infirmières ont montré leur volonté farouche de défendre une conception de la politique de santé, ancrée dans les réalités quotidiennes de l’Ecole au service des élèves.

 

Depuis le début de la concertation sur la refondation de l’Ecole sur fond de rapport parlementaire sur la « médecine scolaire », de rapport de la cour des comptes et confirmé dans le dernier rapport parlementaire publié de mois-ci, les infirmières y ont vu une attaque constante des opposants au pilotage de la santé par le ministre. Cette remise en cause de la gouvernance de la santé reposait alors sur un réel déni de la professionnalité des infirmières présentes dans les lycées et collèges depuis 1945.

 

En répondant massivement présentes à l’appel la  mobilisation du SNICS-FSU le 22 novembre, les infirmières ont démontré sans ambiguïté leur attachement  à des missions d’accueil des élèves pour quelque motif que ce soit dès lors qu’il a incidence sur la santé ou la scolarité.

 

Depuis le 23 juillet, le SNICS n’a eu de cesse de poser la question de la gouvernance et du pilotage de la santé à l’Ecole. C’est pourquoi, le SNICS se réjouit de la réponse qui n’a jamais été celle de la décentralisation aux collectivités territoriales.

 

La délégation reçue par le cabinet du Ministre a entendu ce que les infirmières voulaient voir confirmé, à savoir :

-          La gouvernance et le pilotage de la santé à l’Ecole relève de la responsabilité du Ministre de l’Education nationale 

-          La préconisation du dernier rapport parlementaire sur la création d’un corps interministériel est par conséquent écartée ! 

-          Le Ministre s’engage à mettre en place un groupe de travail avec les organisations représentatives des personnels, sur la base des textes de 2001 sur la Santé à l’Ecole et l’évolution des missions des personnels infirmiers au sein du système éducatif.